Le marché des services informatiques en Russie explose: Russian IT is growing up !!

(via CFRIES)

Selon l'analyste IDC, ler marche des services informatiques en Russie a cru
de 26,3% en 2004, atteignant 1,9 milliard de $, ce qui represente le tauix
de croissance sans egal en Europe. Les trois compagnies leaders (CROC, IBS
et R-Style) sont toutes russes et se partagent environ 10% du marche.

IDC prevoit la croissance annuelle du marche russe dans le secteur de 25,4%
par an sur les 5 annees a venir pour atteindre 5,8 milliards de $ en 2009.

Voir l'article en russe sur
http://www.rbc.ru/rbcfreenews.shtml?/20050824121422.shtml

août 24, 2005 in Russie, CEI | Permalink | Commentaires (0) | TrackBack

Russie/Russia: Les expat voulant travailler en Russie devront passer 6 tests de maladies Expat Workers Must Test for 6 Diseases

Expat Workers Must Test for 6 Diseases est l’article du Moscow Times (un journal gratuit en anglais diffusé en Russie) qui nous apprend que les expatriés voulant travailler en Russie devront passer des tests pour vérifier la présence de Syphilis, lèpre, chlamydia, etc…

Est-ce qu’il y a aussi des problèmes de “plombier polonais” en Russie ?

Est-ce que les travailleurs étrangers qui viennent en France, en Europe, aux USA, ont eux aussi le même genre de tests à passer ?

La communauté des expatriés, notamment occidentaux, à Moscou s’”insurge” de toute cette affaire mais après tout n’est-ce pas normal ?

(Rappelons déjà que poiur avoir un avisa multi-entrée en Russie, il faut en plus des papiers habituels avoir un test HIV négatif de moins de 3 mois).

juillet 25, 2005 in Russie, CEI | Permalink | Commentaires (1) | TrackBack

Russie: création de zones dédiées aux nouvelles technologies

Source : L'Économiste

Le gouvernement russe envisage la création dès 2006 de zones économiques spéciales destinées à encourager de nouveaux projets d'investissements et concurrencer la Chine et l'Inde, a indiqué le 5 juillet le vice-ministre russe du Développement économique Andreï
Charonov. «Nous voulons attirer les capitaux qui aujourd'hui n'arrivent pas en Russie et concurrencer la Chine et l'Inde», a-t-il déclaré.
Deux sortes de zones seront créées, les premières dédiées à de nouveaux projets industriels et les secondes aux nouvelles technologies. Elles sont destinées à attirer des entreprises russes ou étrangères désireuses d'investir grâce à une simplification des procédures de création d'entreprise, des réductions d'impôts et une exemption de droits de douane, a expliqué Charonov. Pour être admises dans les zones dédiées aux projets industriels, les
entreprises devront s'engager à investir au moins 10 millions d'euros, dont un million la première année.
De 4 à 10 zones économiques spéciales devraient être créées en 2006, les projets les plus avancés ayant été proposés par Moscou, la région de Moscou, Saint-Pétersbourg (nord-ouest), Novossibirsk et Tomsk (Sibérie), a précisé le ministre.
Les députés russes devraient examiner vendredi 8 juillet, dernier jour de la session parlementaire, ce projet de loi et Charonov espère qu'ils l'adopteront en deuxième et troisième lecture.

juillet 7, 2005 in Délocalisation, Externalisation, Offshore programming, Outsourcing, Russie, CEI | Permalink | Commentaires (0) | TrackBack

Salaires de l'offshore

Dans son dernier reporting, NeoIT, établit une grille des salaires des pays "offshore":

3 catégories sont citées, informaticiens juniors, confirmés et managers et NeoIT annonces les salires d'offshore suivants:

  • Vietnam 3276  5404  8571
  • Inde 5443  8429  13124
  • Chine 5460  8799  13732
  • Russie 11664  18503  29353
  • Roumanie 8736  13856  22328
  • Pologne 15900  26028  41616
  • Irlande 31500 51963  84397
  • FRANCE 27000-30000  pour un débutant  et 50000-70000 pour un manager

NeoIT pense que le salaire entre à 35-45% dans le coût global d'une prestation offshore.

En ce qui concerne la Russie, nous (Tubbydev) considérons que ces chiffres de salaire d'offshore programming ne veulent rien dire por les riasons suivantes:

  • les différences de salaire en Russie sont très élevées suivant les villes (Moscou est à limite plus cher que Paris)
  • on confond toutes les technologies alors que SELON la technologie les salaires sont ou très faibles ou très elevés
  • on parle d'offshore programming et on prend les salaires globaux qui incluent aussi ce qui n'est pas offshore

Concrètement en Russie, vous pouvez trouver à St-Petersbourg des développeurs confirmés en php à 800 USD par mois et vous ne trouverez pas de spécialiste SAP moins cher qu'en France.

A Moscou, vous trouverez très difficilement des développeurs php disponibles pour un projet offshore.

Autre manque de cette étude sur les salaires offshore à notre avis: et les pays de l'ex URSS comme l'Ukraine, la Biélorussie, le Kazakhstan ???

juillet 5, 2005 in Délocalisation, Externalisation, Offshore programming, Outsourcing, Russie, CEI | Permalink | Commentaires (3) | TrackBack

Les programmeurs russes ont conquis l'Amérique

MOSCOU, 23 mai. (Par Alexandre Yourov, commentateur politique de RIA
Novosti) et via CFRIES.

Lors de sa prochaine réunion, qui devrait se tenir aux Etats-Unis au mois de juin prochain, le Comité de l'Organisation internationale de normalisation (ISO) entérinera les amendements à apporter aux standards internationaux d'identification des personnes.

Ces nouveaux standards permettront de rendre beaucoup plus précise la vérification automatisée des photos et de prévenir la falsification d'une photo ordinaire sur des documents justificatifs ou l'utilisation illicite de ces derniers.

Au début du printemps les nouveaux standards avaient reçu l'appui du Comité américain pour la biométrie M1. Ce qui veut dire que prochainement les nouveaux passeports américains seront munis d'une photo tridimensionnelle de leurs titulaires. Deux promus d'un
établissement d'enseignement supérieur moscovite sont à l'origine de cette nouvelle approche en matière d'identification des personnes.

Dans le monde actuel des hautes technologies la Russie occupe des positions des plus modestes. Selon le ministère russe des Technologies de l'information et des Télécommunications, le marché mondial de l'innovation se chiffre à 1.000 milliards de dollars. Par exemple, les logiciels rapportent à la Russie 200 fois moins qu'aux Etats-Unis et au Japon et 40 fois moins qu'à la Chine. Ces modestes résultats des Russes s'expliquent parfaitement. En 2004, la Russie a investi dans les technologies de l'information (TI) pas plus d'un milliard de dollars alors que la Chine en a injecté une vingtaine.

Aussi l'histoire de ces deux jeunes Moscovites ayant conquis l'Amérique en inventant une technologie inédite d'identification informatique des personnes rappelle une illustration classique du rêve américain. Toutefois, cette heureuse histoire a une nuance qui n'est pas américaine celle-là. Artiom Ioukhine et Andreï Klimov se sont simultanément transformés aussi en incarnation du rêve russe moderne en bâtissant pratiquement à partir de rien une société internationale prospère. Dans une certaine mesure s'est aussi grâce à eux que le pays tout entier attend maintenant un flux d'investissements étrangers dans le secteur TI.

La jeune société A4Vision, parmi les fondateurs de laquelle il y avait justement nos deux programmeurs russes, a fait une irruption tonitruante sur le marché mondial des logiciels il y a seulement cinq ans. Partie de zéro, la société a bénéficié de quelque 30 millions d'investissements et détient le leadership mondial dans ce domaine. Apple, Microsift; Oracle, Google, Ebay et beaucoup d'autres compagnies prestigieuses actuelles ont connu des débuts à peu près identiques. C'est probablement la raison pour laquelle les employés
du bureau russe de la société A4Vision ne dissimulent pas leur certitude que leurs produits connaîtront un succès comparable à celui des leaders mondiaux de la programmation.

Mais en réalité le succès de A4Vision n'a rien de fabuleux. Il est seulement le fruit du juste choix des objectifs visés. Après la tragédie américaine du 11 septembre les fondateurs de A4Vision s'étaient dit que la sécurisation serait désormais un secteur d'avenir. Pendant un an ils avaient financé eux-mêmes leur projet d'identification des personnes. C'est une fois le prototype de la technologie mis au point qu'ils avaient sollicité des investisseurs.
Et pour les deux programmeurs talentueux l'heure de gloire a sonné au mois de mars 2003, lorsque sous l'égide de l'ONU les représentants de 188 pays ont signé l'Accord de New Orleans en vertu duquel un développement réalisé par une société jusqu'ici inconnue
avait été choisi comme méthode d'identification des passeports et des visas. Depuis leur projet s'est amplifié pour devenir consortium comprenant de grandes sociétés universellement connues comme ID Technology Partners, Logitech, Motorola, Oracle, and Unisys Corporation.

Contrairement à ce qu'il était coutumier de faire en Russie ces dernières années, les fondateurs de la société n'ont pas dépensé fastueusement l'argent gagné mais l'ont avec ténacité investi dans le développement, a raconté Aliona Los, l'attachée de presse de
A4Vision. Artiom Ioukhine a conservé sa part d'actions. De surcroît, personne n'a bouté hors du nouveau consortium les deux fondateurs russes. Ils continuent de coopérer avec leurs partenaires étrangers.
Bien sûr, beaucoup de chemins reste à parcourir jusqu'au happy end, mais d'ores et déjà il est clair que le projet A4Vision est un projet modèle de hautes technologies conçu en Russie.

Devant ce succès aussi vertigineux qu'inattendu de ces Russes, les investisseurs étrangers doivent prendre conscience que les chercheurs en Russie (on en recense un million), obligés
actuellement de s'occuper de problèmes très éloignés des hautes technologies, constituent un formidable potentiel. Les programmeurs russes attendent donc des investissements étrangers.

mai 24, 2005 in Délocalisation, Entreprenariat, Externalisation, Offshore programming, Outsourcing, Russie, CEI | Permalink | Commentaires (1) | TrackBack

Parcs IT en Russie: quand les intérêts coïncident

(source RIA Novosti et BE de l’ambassade de France en Russie)

La production de logiciels est l'un des segments les plus rentables du commerce intellectuel. À l'heure actuelle, la Russie fait partie des trois premiers pays exportateurs de services IT, même si, officiellement, sa part dans le marché mondial des hautes technologies s'élève à environ 1%. Le ministre des Technologies de l'Information et des Télécommunications, Leonid Reïman, a déclaré récemment que le secteur IT russe affichait une croissance annuelle supérieure à 20%, soit deux à trois fois plus que la moyenne mondiale.
Les services d'externalisation tiennent le haut du pavé. Selon l'association Russoft, le chiffre d'affaires des exportations de logiciels s'est élevé à 560 millions de dollars en 2004, il doit atteindre 740 millions en 2005 et dépasser la barre du milliard de dollars d'ici 2007. Sans aucune aide des autorités, les acteurs russes du software ont trouvé leur niche sur le marché mondial : plus de 250 d'entre eux travaillent déjà dans la programmation offshore.
Une vingtaine d'écoles scientifiques remarquables ont survécu à la crise des années 1990 et permettent de rivaliser avec les pays avancés de l'Occident dans l'informatique, les nanotechnologies et l'ingénierie génétique. En Russie, la part des étudiants en sciences exactes, plus de 50%, demeure parmi les plus élevées du monde.
En janvier dernier, le président Vladimir Poutine a fixé comme objectif de créer en Russie des parcs IT genre Silicon Valley, en Californie. Dans un discours prononcé à Novossibirsk (Sibérie), il a souligné que "ces zones devraient bénéficier d'un régime administratif spécial où les possibilités des institutions dites de "contrôle" seraient limitées... On devrait créer à leur intention des régimes fiscaux et douaniers de faveur". L'État envisage d'octroyer à chaque parc entre 80 et 150 millions de dollars.
Les projets de parcs IT sont désormais largement débattus aux deux chambres du parlement russe, dans les ministères, au cours des conférences et des tables rondes organisées par les différentes associations et fondations. En juin prochain, le ministère des Technologies de l'information et des Télécommunications doit soumettre au cabinet un concept de programme national prévoyant de créer 6 à 10 parcs technologiques d'ici 2010. Des parcs de ce type seront d'abord établis dans la région de Moscou, à Saint-Pétersbourg, à Novossibirsk et à Nijni Novgorod. Il reste à espérer que les bonnes intentions ne seront pas réduites en poussière sous le poids des procédures bureaucratiques.
Le système actuel des impôts et des règles douanières fait que les bénéfices des concepteurs de logiciels se concentrent dans d'autres pays en augmentant la capitalisation des compagnies occidentales. "Il importe de créer un régime fiscal qui permettrait aux compagnies russes de se capitaliser en Russie", estime Oleg Biakhov, responsable des stratégies au ministère des Technologies de l'information et des Télécommunications.
En ce qui concerne les parcs IT, les intérêts de l'État, des compagnies russes de logiciels et des clients occidentaux sont presque identiques. Dans les parcs technologiques, on pourrait collecter davantage d'impôts, les bénéfices ne quitteraient pas le pays, et les compagnies de logiciels auraient moins de mal à exécuter les grosses commandes provenant des géants occidentaux qui, depuis longtemps, plébiscitent la Russie. Microsoft, Cisco, Motorola, Siemens, Hewlett Packard et d'autres marques globales ont ouvert en Russie des centres de recherche-développement. Celui de la compagnie russe Luxoft bénéficie du statut de laboratoire IBM. Intel, qui doit ouvrir à Moscou un grand centre d'innovation, utilise activement son centre de conception de logiciels à Sarov, ancienne ville fermée qui abrite le Centre nucléaire national. Un parc technologique est donc déjà en chantier à proximité de Sarov. Boeing et le russe Sistema ont déjà manifesté de l'intérêt pour le projet. Selon Nikolaï Mikhaïlov, membre du directoire de Sistema, une compagnie russe qui vient de réaliser sa première IPO à la Bourse de Londres, "les entreprises ont progressé beaucoup plus loin que l'État dans la compréhension de la nécessité d'un développement d'innovation".
Le parc IT de Saint-Pétersbourg qui sera créé sur la base de l'université des télécommunications Bontch-Brouïevitch aurait pour investisseurs ses principaux clients, Siemens et Alcatel. Ainsi, lors du récent forum économique de Londres, le membre du comité exécutif de Siemens, Rudi Lamprecht, s'est dit enthousiasmé par l'idée de créer des parcs technologiques et prêt à participer au processus. "Beaucoup d'investisseurs étrangers aimeraient que les prises de décision au sein du gouvernement russe soient plus transparentes. Nous voulons plus de prévisibilité", a-t-il dit.
Quoi qu'il en soit, la mise en place de parcs technologiques ne résoudra pas tous les problèmes liés au développement des technologies IT en Russie. Là, au lieu de simples déclarations de bonnes intentions, il devrait y avoir un programme gouvernemental précis visant à réduire la dépendance du budget national vis-à-vis des ressources énergétiques.
La croissance, sur le marché mondial des technologies IT, de l'intérêt pour les services des compagnies russes est évidente. Celles-ci représentent une alternative réelle aux marchés indien et chinois. Selon le vice-ministre des Technologies de l'information et des Télécommunications, Dmitri Milovantsev, le volume du marché russe des services d'externalisation informatique peut s'élever à 10 milliards de dollars d'ici 2010, soit presque 7% des exportations mondiales de services IT. Seulement, pour parvenir à ces résultats, l'État devra régler un certain nombre de problèmes, notamment supprimer les barrières administratives, créer des avantages fiscaux pour accumuler les capitaux, lutter contre le piratage, protéger les droits de propriété intellectuelle et mettre à la disposition des parcs technologiques des télécommunications et des infrastructures de bonne qualité. Sans oublier, bien sûr, un autre facteur non négligeable, l'image positive du pays.

mai 24, 2005 in Externalisation, Offshore programming, Outsourcing, Russie, CEI | Permalink | Commentaires (1) | TrackBack

 Lycos va chercher à reclasser en Arménie

Libération : Lycos va chercher à reclasser en Arménie est un exemple de plus de la globalisation qui s’exprime souvent pour les pays occidentaux par des délocalisations et pour les pays où ces activités arrivent par un enrichissement et la création d’activités.

Dans le cas de Lycos, nous sommes un peu surpris car les liaisons en Arménie ne sont pas du tout de bonne qualité et on voit mal un service efficace fonctionner avec ces problèmes. Par ailleurs, l’Arménie est certes une ancienne partie de l’URSS mais ne bénéficie pas de l’excellence de formation de pays comme la Russie, l’Ukraine ou la Biélorussie. Les ingénieurs et développeurs arméniens ne sont pas vraiment au niveau requis.

Enfin, l’achat d’une société locale dont parle Lycos est aussi étonnant quand on sait les difficultés qu’il y a à se mettre d’accord pour ne serait-ce que prendre des parts dans une société de l’ex-urss, non pas à cause des lois locales mais à cause de la nécessité pour des sociétés cotées ou possédées par des sociétés cotées d’avoir des flux d’argent et des relations juridiques claires et validées par les organismes compétents occidentaux (d’autant plus qu’on voit mal les “assets” que peut posséder une société de services en Arménie et son “goodwill” par rapport à la somme des salaires de ses meilleurs éléments augmentée du % nécessaire pour qu’ils partent travailler ailleurs !!!)

Suivons cette expérience encore quelques temps pour voir ;-))

Un forum de réaction sur O1net.

L’article du Monde à ce sujet: “Lycos veut reclasser certains de ses salariés en Arménie” et même le nouvelobs en parle en insistant surles salaires à 500 euros ..

mai 24, 2005 in Délocalisation, Externalisation, Offshore programming, Outsourcing, Russie, CEI | Permalink | Commentaires (2) | TrackBack

Offshore à l'envers: un exemple

Sur un site français de recherches de compétences, la demande suivante:

“Contexte : déploiement d'un progiciel (EVOLAN de SOPRA Groupe), pour FILIALE XXX, à l'international,  sur AS400, avec interface WEB pour le back office.
Poste : La personne cherchée doit réaliser les tâches suivantes (celles de Monsieur X) pour le projet Russe seulement.
Monsieur X est rattaché aux méthodes et assure pour l'international certaines tâches sans en être pour autant responsable
·  Assure les sauvegardes locales
·  Assurer les livraisons de l'éditeur en local et en Russie (patch et nouvelles version)
·  Réalise un manuel d'exploitation pour la Russie
·  Réalise l'intégration en Russie (première version le 20 mai)
·  Définir  les taches liées à la production
·  Installation en Russie (partie AS400 et WEB)
·  Gère les habilitations AS400, le déploiement soft dans les différents environnement locaux mais aussi les futurs environnements en Russie.
En somme Monsieur X est transverse.
La personne cherchée doit faire la même chose pour la Russie quand Monsieur X n'est pas là (back up Russie en quelque sorte).
Une partie de ces choses est déjà initiées voire faites. En plus de ces tâches, il s'agira de prendre en charge certains dossiers :
-  plannings « end of day »
-  tests de bout en bout
-  déplacements en Russie (installations, paramétrages, formations utilisateurs)
-  Etudes et dossiers techniques
-  Encadrement éventuel des équipes de développement SOPRA
L'Anglais courant est un pré-requis obligatoire (parlé, lu et écrit).
Compétences: COBOL et AS400
Lieu : IDF avec déplacements courts en Russie
Durée: Longue
Merci de m'envoyer votre CV ainsi que votre prix en sous-traitance si vous êtres disponible et que vous avez ces compétences.”

C’est un bon exemple de ce qu’est l’offshore à l’envers, ce qu’on appelle les exportations de services, et ceci dans un pays où il y a de l’offshore …


 

avril 25, 2005 in Délocalisation, Externalisation, Offshore programming, Outsourcing, Russie, CEI | Permalink | Commentaires (0) | TrackBack

Nombre de diplomés IT en Russie et en Inde

La Russie a lancé une grande offensive médiatique pour développer l’outsourcing et l’offshore-programming puisque les pouvoir russes ont enfin compris que la réputation IT de l’Inde avait été construite notamment par de la communication.

En effet, tous les spécialistes connaissent la prédominance de l’ex-Urss en sciences et notamment en mathématiques et informatique sur l’Inde mais ceci est tellement mal présenté et mal vendu que les possibilités russes, ukrainiennes notamment ne sont pas connues et sont même parfois dans l’’esprit des gens situées plus loin et plus difficiles d’accès que celles de l’Inde (alors que Moscou est à 3,5 heures d’avion et n’a que 2 heures de décalage ;-))

Auriga a publié en 2004 un tableau intéressant de comparaison en nombre de diplomés susceptibles de travailler en IT. Nous en avions parlé à l’époque et pour satisfaire quelques demandes de nos lecteurs, nous redonnons le lien vers l’article et les tableaux.

Supplement IT Graduates in India and Russia:
Statistical Data

India IT Labor Supply / Software Industry
2000-01 2001-02 2002-03 2003-04 2004-05 2005-06
Number of engineering graduates 201,246 233,947 259,130 294,251 327,013 368,672
Degree (4-year course) 82,107 109,376 128,877 151,856 178,922 214,658
Diploma (3-year course) 119,139 124,572 130,252 142,395 148,091 154,014
Number of IT (Com Sc, Electronics, Telecom) professionals
Engineering IT graduates (degree) 53,370 71,066 81,423 93,968 99,162 109,983
Engineering IT graduates (diploma) 41,128 44,175 45,221 45,871 47,017 48,193
Total 94,498 115,241 126,644 139,839 146,179 158,176
Number of IT professionals entering workforce 74,364 90,867 71,961 79,593 83,233 90,152
Engineering IT graduates (degree) 42,696 56,853 47,225 54,502 57,514 63,790
Engineering IT graduates (diploma) 31,669 34,015 24,736 25,091 25,719 26,362
Number of non-IT engineers entering IT workforce 32,025 35,612 39,746 46,324 54,250 63,149
Number of graduates (other disciplines) entering IT workforce 26,597 31,620 34,926 39,205 42,446 47,061
Total fresh IT labor supply 132,986 158,099 146,633 165,121 179,929.00 200,362

Source: Nasscom


Russia’s New IT Labor
2002 - 2003 2003 - 2004
Number of IT engineering (Com Sc, Electronics, Telecom) graduates 42,138 45,994
Number of math and physics graduates 21,577 22,132
Number of non-IT engineering graduates capable of entering IT workforce 69,072 76,435
Number of graduates (other disciplines) capable of entering IT workforce 70,631 81,270
Total fresh IT labor supply 203,418 225,831

Source: Auriga Research, 2004

avril 18, 2005 in Délocalisation, Externalisation, Offshore programming, Outsourcing, Russie, CEI | Permalink | Commentaires (0) | TrackBack

5 liens intéressants à propos de la Russie aujourd'hui

http://www.liberation.fr/page.php?Article=290332&AG (la prochaine révolution .. en Russie ?)
 
http://www.liberation.fr/page.php?Article=290239&AG (salaire moyen)
 
http://www.liberation.fr/page.php?Article=290240&AG (vigile devenu boss)
 
http://www.liberation.fr/page.php?Article=290241&AG  (ascension d'une reine de la mode)
 
http://www.liberation.fr/page.php?Article=290237&AG  (cols d'or de Russie)

avril 18, 2005 in Russie, CEI | Permalink | Commentaires (0) | TrackBack