L'offshore détruit ou crée ?

C'est la question éternelle et sempiternelle que se posent beaucoup de gens à propos de l'offshore. Voxinablog en parle dans sa note sur "offshore: destruction créatrice ? (et merci à lui de citer Pierric Duthoit de Tubbydev à propso d'un article de Pierric dans la journal du net). Nous noous permettons ici de faire quelques remarques à propos de la note de Voxinablog:

• l'offshore au sens commun actuel s'appelle dans l'autre sens "exportation de services" et existe depuis longtemps pour souvent d'autres causes que l'argent
• le phénomène à propos duquel tout le monde s'agite dans l'informatique et les services existe depuis longtemps dans certains secteurs de l'informatique ou d'autres domaines auxquels personne ne pense tellement les solutions ont été intégrées et présentées habilement (qui certifie les plus grands comptes français ? qui fournit la plupart des logiciels ?   réponse: des sociétés "offshore" dans le sens étrangères et moins "cher" parfois: des sociétés américaines dont beaucoup de gens ne pensent pas qu'elles sont étrangères d'ailleurs ;-)))
• on a tendance à traiter l'offshore programming de manière globale alors qu'il faudrait considérer ET les technologies ET les types de travaux de manière séparée: certains travaux NE PEUVENT PAS ETRE réalisés en offshore et certaines technologies n'ont aucun intérêt ailleurs donc n'ont pas de spécialistes hormis quelques théoriciens qui feront capoter à coup sûr tout développement (typiquement les développement fonctionnels sur SAP ou autres ERP qui SI ils pouvaient être faits dans des pays où la main d'oeuvre seraient la preuve que le marché local est le même qu'en France, ce quio serait d'un illogisme total dans les prix: la preuve en est que par exemple un bon spécialiste SAP coûte plus cher à Moscou qu'à Paris par exemple.. je ne parle pas ici d'abap)
• l'offshore actuel n'est pas une activité pérenne dans le sens où  nous sommes dans un marché global où les structures verticales disparaissent derrière les structures transversales. les sociétés ne sont plus des multinationales mais des sociétés globales et la localisation de la ressource n'est pas à considérer de manière importante: les ressources sont d'abord à disposition de telle ou telle entité avant d'être indiennes, russes ou françaises --> le raisonnement par pays ou par langue est donc un raisonnement à court terme.